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De la Durance à la Haute Clarée.

D'Embrun à Névache.

Du 16 au 26 juillet 2020.

 

 

 

 

 

 

 

Les marques GR®, GRP®, les signes de balisage correspondants (blanc/rouge et jaune/rouge),

et PR® sont des marques déposées par

la Fédération Française de la randonnée pédestre.

Autorisation de reproduction 2008.

 

 

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Un clic sur la carte

 

 

 

 

16 juillet 2020 : Départ d'Embrun

au gîte de Pinfol

17 juillet

Freissinières

18 juillet

Les Vigneaux

19 juillet

Puy St Pierre

20 juillet

21 juillet

Le Monêtier

Le Monêtier

22 juillet

Refuge Chardonnet

23 juillet

Refuge Drayères

24 juillet

Refuge Ricou

25 juillet

Refuge Buffère

26 juillet

Névache

 

 

EMBRUN

 

 

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Jeudi 16 juillet 2020

 

d'Embrun au gîte de Pinfol.

 

Le GR® 653D commence derrière la gare ; je quitte Embrun à 7h30 par les hauts quartiers, et un large chemin avec vue sur la ville, les champs de blés, et le lac de Serre-Ponçon au loin.

La journée s'annonce ensoleillée.

En passant par des hameaux agricoles, le GR® 50 rejoint l'itinéraire de départ, et les deux GR® vont être commun une partie de l'étape.

Le paysage est champêtre, sans grande dénivellation. Je rejoins Châteauroux les Alpes et la chapelle St Roch.

 

Le chemin remonte à travers bois au village de St Marcellin, avec de belles vues en balcon sur la Durance, mais délicat à certains endroits.

On traverse des hameaux : les Chamousses, St Alban.

 

Le GR® continue par la forêt pour rejoindre la cascade du Couleau, que l'on traverse sur le pont de l'Amitié. Le chemin continue de l'autre côté du ravin.

 

Un peu plus loin, le GR® 653D descend sur St Clément sur Durance, et le GR® 50 continue en montant dans le bois, pour arriver au gîte de Pinfol à 15h30.

 

Un couple de cyclistes VTT arrivent un peu plus tard ; nous sommes trois dans ce gîte sympathique, au calme, et avec seulement deux ou trois maisons autour. Sur le versant en face, on aperçoit Montdauphin.

 

Dîner convivial avec les propriétaires du gîte.

 

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Gîte de Pinfol.

 

 

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Vue au dessus d'Embrun.

 

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Saint Marcellin.

 

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La Durance vue du sentier.

 

 

 

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En chemin.

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Le gouffre de Gourfouran

 

 

 

Vendredi 17 juillet 2020

 

De Pinfol à Freissinières.

 

 

Après le petit déjeuner, je pars de Pinfol à 8h20, avec un grand ciel bleu et le soleil…

Le GR® 50 grimpe à travers bois un bon moment, puis descend par une piste forestière qui devient assez plane, en passant par différents hameaux : Mikéou, Basse Rua, le Villard…

Paysage forestier, des sapins. Le hameau du Ponteil est très fleuri, et habité par des vacanciers.

Un peu plus loin, un sentier caillouteux en descente assez raide, passe sous des barres rocheuses : la crête de Bouchet, ce sentier balcon assez étroit demande de l'attention!

Ensuite je rejoins la route menant aux villages de Champcella, et après au Chambon.

 

A midi trente, j'arrive au Pallon, auberge, bar. Pause casse-croûte, et tour de visite au gouffre de Gourfouran : falaises abruptes vues d'un belvédère, gorges de roches rouges caractéristiques et impressionnantes ; zones de quiétude pour les oiseaux de toutes sortes : choucas des tours, hirondelles, martinets, etc… mais plusieurs espèces sont en voie de disparition.

 

Je repars à 14h30 par la route et chemin à travers champs près d'un camping, et la forêt longeant un torrent.

 

J'arrive à Freissinières à 15h40.

Le gîte d'étape étant complet depuis une semaine, je n'avais pas d'autre choix que d'aller à l'hôtel "5 saisons"…

 

Dîner sympathique avec le couple de jeunes patrons de l'hôtel, et deux clients.

 

 

 

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Arrivé à Freissinières.

 

 

 

Samedi 18 juillet 2020

 

de Freissinières aux Vigneaux.

 

 

Après le petit déjeuner buffet, je quitte Freissinières à 8 heures.

 

Le GR® 50 monte en sous bois, en passant par les hameaux des Roberts, des Aujards.

Un peu plus loin, deux possibilités : soit suivre le sentier montant au col d'Anon, soit continuer par le GR® pour atteindre le col des Lauzes 1837 mètres ; c'est ce que j'ai fait.

 

Une fois arrivé au col, les pistes forestières de toutes sortes posent quelques difficultés… Il suffit de rater un balisage et on se retrouve sur un chemin à rallonge!

Le principal est de descendre pour rejoindre la petite route et la maison forestière du Sapey. Il est déjà midi et demie.

 

Il faut remonter sur l'autre versant par le GR® avec de grands lacets plein soleil, jusqu'à des grandes prairies, et des sapins, fréquentés par des promeneurs venus en voiture.

J'arrive au col de la Pousterle et ses espaces verdoyants de pique-nique vers 13h40.

 

Le chemin redescend à travers bois jusque dans la vallée près d'un camping le long de la rivière Gyronde.

 

Après être passé sur le pont, et suivi une petite route, j'arrive aux Vigneaux vers 16 heures, où j'avais réservé au gîte d'étape le Montbrison. Le gérant n'est pas là, je téléphone deux fois : pas de réponse…

J'arrive enfin à accéder au gîte à 18 heures grâce à des gens qui jouaient aux boules à quelques centaines de mètres, et m'ont fait passer par l'autre côté du gîte donnant sur un jardin!

Je suis tout seul, j'ai le temps de prendre une douche : j'en avais bien besoin!

Le gîte est impeccable, les sanitaires au Top. Il y a une cuisine, mais je n'ai rien à manger, donc je retourne au bas du village où se trouve une pizzeria sur le bord de la route, pour manger une pizza.

 

Je remonte me coucher, et toujours pas de gardien en vue!

 

 

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Près du col de la Pousterle.

 

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Gîte Montbrison aux Vigneaux.

 

 

 

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Hameau les Aujards.

 

 

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Montée vers le col des Lauzes.

 

 

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Chemin forestier.

 

 

 

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Maison forestière du Sapey.

 

 

 

 

 

 

 

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Vue sur la vallée après les Vigneaux.

 

 

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Bergerie en chemin.

 

 

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Sentier fleuri.

 

 

 

Dimanche 19 juillet 2020

 

Des Vigneaux à Puy Saint Pierre.

 

Je suis levé à 6 heures après une bonne nuit de sommeil.

Au moment de partir à 7 heures, le gérant semble sortir de nulle part, ou plutôt d'une porte au dessus du gîte ; je suppose qu'il habite là…

 

Il a appris par un de ses copains que quelqu'un dormait au dortoir. Il ne savait pas que j'avais réservé, alors que je lui avais téléphoné depuis une semaine, et m'avait répondu qu'il serait là dès que je l'appelle.

Le brave homme était parti se balader et n'avait pas de réseau, donc il n'a pas reçu mes deux appels en arrivant comme convenu!

 

Enfin voila! J'ai payé ma nuitée, 20 euros. Peut-être croyais t-il que je partirai sans payer, s'il ne se montrait pas devant la porte?

Evidemment, s'il n'y a personne, je paye à qui?

 

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Le GR® 50 grimpe en lacets et atteint un large chemin forestier agréable. Arrivé près d'une citerne incendie il remonte par un petit sentier dans le bois du clot. Plus loin il passe sous la crête de Roche Motte, en sentier balcon avec vue sur la vallée.

 

Peu après de grandes antennes, je passe au hameau de Bouchier.

Une nouvelle piste forestière monte doucement jusqu'à l'intersection du hameau de Ratière.

 

A partir de là le GR® devient un sentier en descente parmi les sapins, et passe sous le rocher de Roure, et en continuant par un chemin j'arrive à Puy St André à midi.

 

Pause pour grignoter ce que j'ai dans mon sac. Ce village est désert, il n'y a rien en dehors du gîte d'étape qui est paraît-il complet ce soir!

 

Je repars à 13 heures en suivant le GR® 50 et une petite route jusqu'à Puy St Pierre, et l'auberge "maison de Catherine", dont on m'avait parlé.

Je m'arrête là pour aujourd'hui à 15 heures.

 

Je n'ai pas vu de Catherine, mais le patron qui me parle de la Réunion, où il a vécu 30 ans, et très heureux quand je lui dit que j'y suis allé 4 fois pour randonner.

 

Ce soir j'aurai droit à un cari de poulet…

 

 

 

 

 

 

 

Lundi 20 juillet 2020

 

Du Puy Saint Pierre au Monêtier les bains.

 

 

Départ de Puy St Pierre à 8h30.

Le GR® 50 suit un large chemin forestier sans difficulté, avec par endroits des vues sur la vallée et les villages de Saint Chaffrey, Villeneuve la Salle, etc…

On passe aussi sous les remontées mécaniques des pistes de Serre-Chevalier.

 

Au hameau de Gaudissard le GR® en sentier descend et croise des pistes de VTT.

Je traverse un torrent sur des troncs d'arbres, et le chemin continue en descente plein soleil pour rejoindre la route et arriver au Monêtier à 13h15.

 

J'ai décidé de rester ici demain, car les réservations et les restrictions dans les refuges suivants sont compliquées!

 

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Vue sur le Monêtier les bains,

 

et le village.

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En chemin.

 

 

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Chapelle de Gaudissard.

 

 

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Fleurs.

 

 

 

 

 

 

 

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Chapelle du Puy Jaumar.

 

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Vallon de la Moulette, et col de Roche Noire.

 

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Refuge du Chardonnet.

 

 

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Près du refuge.

 

 

 

 

Mercredi 22 juillet 2020

 

Du Monêtier les Bains au refuge du Chardonnet.

 

Il est 7h30, je quitte le Monêtier par une petite rue remontant vers un sentier régulier, qui passe par la chapelle de Puy Jaumar, et une très belle vue sur la vallée.

 

Un peu plus haut, j'atteins le Puy du Cros : petit hameau et sa chapelle. ensuite il faut suivre un bout de sentier dans un champs, pour retrouver plus loin un chemin qui mène à la source captée de la Moulette.

A partir de là le sentier est balisé GR® 57 ; il remonte dans les pâturages et le vallon de la Moullette.

 

Le terrain devient plus caillouteux et plus étroit en grimpant en lacets assez raides terreux et pierreux, pour arriver sur une brèche à 2693m, qu'il faut longer pour arriver au col de Roche noire à 2650m : il est 11 heures.

 

La descente du col est assez glissante sur des petits cailloux.

Les jours précédents je n'avais rencontré personne en chemin, mais aujourd'hui je vois les premiers randonneurs, surtout dans le sens inverse.

 

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Fleurs en chemin.

 

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J'arrive au refuge du Chardonnet 2227m à 12h20.

Je pensais mettre plus de temps! Les orages étaient annoncés pour l'après midi, j'ai préféré partit tôt.

 

Il y a du monde au refuge, ce qui change des autres jours!

Les réservations (obligatoires) sont faites depuis le début du mois.

Je suis dans une chambre de quatre lits où nous sommes deux…

Distances respectées et masques obligatoires!

 

 

 

 

Jeudi 23 juillet 2020

 

Du refuge du Chardonnet au refuge des Drayères.

 

 

 

Je me suis levé à 6 heures pour prendre le petit déjeuner, et partir à 7h15. l'étape du jour devant être longue et plus compliquée que les précédentes…

 

La montée dans les prairies est agréable : le GR® 57 est bien tracé, en passant par le lac du Chatelard recouvert de plantes aquatiques. Plus loin le lac de la mine, et le col du Chardonnet à 2638m, avec la vue sur la Barre des Ecrins et la Meije dans un grand ciel bleu. En face, au loin on distingue la route du col du Lautaret.

 

La descente de ce col est plus délicate avec les petits cailloux et les pierres qui roulent sous les chaussures ; c'est même très long dans les lacets qui n'en finissent pas!

Arrivé au bas d'un torrent, le sentier remonte avec plusieurs petits lacs, et une cabane : le clôt des ânes. Toujours une vue bien dégagée sur la Meije à gauche et le Grand Lac en contrebas.

 

Le sentier en balcon remonte en passant près du lac de la Ponsonnière, et ensuite atteint le col à 2613m à 11h45.

 

Après ce deuxième col, descente toujours caillouteuse avant d'arriver dans les prairies au lac des Cerces. Il n'y a plus de balisages du GR® mais des marques jaunes!

Le sentier remonte à nouveau régulièrement au col des Cerces 2514m.

en suivant une piste caillouteuse j'arrive à un nouveau col : "les Rochilles", situé entre le lac du Grand Ban et le lac rond. Il y a de nombreux promeneurs et touristes au bord de l'eau qui profitent de cette belle journée.

 

Il faut passer entre ces deux lacs et contourner le lac rond à droite pour retrouver les balisages du GR® 57, au milieu de ce qui s'appelle "le seuil des Rochilles" : terrain rocailleux, et de pierres plates, avec plus bas, le lac de la Clarée, et la source de ce ruisseau qui deviendra dans la vallée un rivière impétueuse.

Le sentier toujours très caillouteux descend en suivant ce torrent, et j'arrive au refuge des Drayères à 2170m à 15 heures.

 

J'ai rencontré beaucoup de randonneurs en chemin, et nous sommes nombreux aussi au refuge, où il est difficile de respecter les fameuses distanciations sociales ou physiques que les bureaucraties nous imposent!

 

 

 

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Le clôt des ânes.

 

 

 

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Lac des Cerces.

 

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Arrivée refuge des Drayères.

 

 

 

 

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Le matin, devant le refuge du Chardonnet.

 

 

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Lac du Chatelard.

 

 

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Au col du Chardonnet, vue sur la Meije et la Barre des Ecrins.

 

 

 

 

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Lac de la Ponsonnière.

 

 

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Lac du Grand Ban.

 

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Lac de la Clarée.

 

 

 

 

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Départ du refuge des Drayères.

 

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La main de Crépin.

 

 

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Une éclaircie en arrivant au refuge.

 

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Refuge de Ricou.

 

 

 

Vendredi 24 juillet 2020

 

Du refuge des Drayères au refuge Ricou.

 

 

Il y a eu de gros orages cette nuit, et ce matin le ciel est très nuageux avec une pluie fine…

Heureusement que ce n'était pas hier pendant cette longue étape!

 

Départ du refuge des Drayères à 8h20. Je voulais suivre le sentier rive droite de la Clarée, mais avec ce terrain boueux et trempé, j'ai préféré, prendre la piste de l'autre côté.

 

A hauteur du pont du Moutet, je remonte à gauche par un sentier balisé jaune et rouge : GR® de Pays. Il grimpe en lacets avec la pluie par moments, et le vent froid.

Ensuite le sentier suit la courbe de niveau par des alpages.

 

 

 

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En chemin dans la Clarée.

 

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Il faut profiter d'une accalmie pour faire une photo.

 

 

J'arrive à la pancarte "la replate" à midi. Je tente le coup de monter au lac Laramon en un quart d'heure, mais de gros nuages et le vent fort gâche le paysage! Je ne reste pas ; je redescends, et j'arrive au refuge de Ricou à 13h10.

Petit refuge très accueillant et quasiment complet ce soir, compte tenu des règles sanitaires, je suis seul dans un petit dortoir

 

J'avais réservé les quatre refuges de la Clarée depuis le début du mois, par obligation.

 

 

 

 

 

Samedi 25 juillet 2020

 

Du refuge Ricou au refuge Buffère.

 

Je suis levé à 6h30 pour prendre le petit déjeuner ; le ciel est bleu, une belle journée s'annonce après l'intermède pluvieux d'hier.

 

Je laisse mon sac à dos au refuge, et je monte aux lacs à 8 heures.

En une quarantaine de minutes j'arrive au lac Laramon : magnifique espace entouré de verdure. En continuant de grimper un peu, en un quart d'heure je suis au lac du serpent 2456m.

La vue est magnifique sur les sommets environnants, et au loin émergent les Ecrins, et la Meije.

 

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Lac Laramon.

 

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Lac serpent, et la Barre des Ecrins au loin.

 

 

Je redescends à 9h45, et déjà de nombreux promeneurs montent !

C'est le genre d'endroit qu'il faut voir de bonne heure, pour en profiter pleinement.

 

De retour au refuge de Ricou pour récupérer mon sac et prendre un café, je repars à 11h15 en suivant le chemin forestier parmi les mélèzes en descente jusqu'à la chapelle de Fontcouverte : il est 11h45. Pause photos…

 

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Hameau et Chapelle de Fontcouverte.

 

 

J'avais décidé de rallonger un peu cette étape qui aurait été beaucoup trop courte ; donc je repars à midi par la route, le pont et chalets du "Jadis" (tout un programme), et j'arrive au refuge de Laval à 13 heures, où je fais une pause casse-croûte.

 

Je repars à 14 heures par le sentier rive droite de la Clarée, bordé de verdure, de fleurs, de cascades ; magnifiques endroits de l'autre côté des hameaux du Jadis et de Lacha, la chapelle Sainte Marie dans une prairie.

 

 

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Chapelle en chemin.

 

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La Clarée.

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Près du pont de la Souchère, je vais prendre un sentier qui grimpe assez raide en sous bois de sapins et mélèzes, et aboutit dans une prairie où se trouve la chapelle Saint Ignace, et le refuge Buffère quelques dizaines de mètres plus bas à 16h30.

 

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Refuge Buffère.

 

 

J'étais déjà venu ici il y a un an, et j'ai encore la chance d'être placé dans une petite chambre individuelle.

Le dîner est très convivial avec d'autres randonneurs.

 

 

 

 

 

Dimanche 26 juillet 2020.

 

Du refuge Buffère à Névache.

 

 

Ce matin ce n'est pas vraiment une étape, et c'est tant mieux, car l'orage a grondé très tôt, et malgré une courte éclaircie, la pluie arrive très vite!

 

Je quitte le refuge Buffère après le petit déjeuner à 8h10.

 

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En partant du refuge.

 

Le sentier descend en sous bois jusqu'au pont du Rately.

A partir de là, une pancarte indique qu'il faut suivre la route : le chemin rive droite de la Clarée est interdit pour cause d'éboulements.

 

J'arrive à Névache à 9h10.

 

Fin de cette randonnée.

 

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Névache.

 

 

 

 

 

 

 

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La Clarée, et le pont du Rately au fond.

 

 

 

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Chapelle Sainte Barbe.